Coucou,
Des fois je me dis que les journaux ou radios font exprès de vouloir m'énerver. C'est assez facile cela dit, il suffit de donner la parole à un intervenant pas neutre du tout sur un sujet, et de le considérer comme si c'était un expert ne pouvant dire que la vérité.
Ou alors il suffit de ne parler que de certains aspects d'un sujet. Ou d'essayer à tout prix d'insister sur les aspects négatifs de ce que l'on n'aime pas juste pour montrer à quel point c'est mal (ce qu'il m'arrive de faire, mais moi j'ai le droit, je ne suis pas journaliste).
Quelques exemples :
Dans un entretien avec Alan Greenspan que l'on a pu lire récemment dans Le Figaro (oui je sais, en lisant Le Figaro j'augmente les risques de m'énerver, mais j'aime bien me provoquer), ce brave Alan disait par exemple ceci :
« Personnellement, j’ai trouvé admirable qu’il ait [Note de Maxou : devinez qui] passé ses vacances d’été aux États-Unis. Son choix de Wolfeboro, dans le New Hampshire, est remarquable. C’est d’ailleurs là que j’allais lorsque j’étais jeune. »
C'est quoi cette phrase ?! Ça ne rime absolument à rien, c'est quoi ce truc ?!
Un peu plus loin dans le même entretien, une question du Figaro :
« Dominique Strauss-Kahn est bien parti pour être le prochain directeur général du FMI. Vous avez un message pour lui ? A-t-on encore besoin du FMI ? »
Bah oui, maintenant que c'est un socialiste qui est à la tête, faudrait quand même pas que ça serve à quelque chose. Enfin c'est un peu l'impression qu'on peut avoir en lisant ça.
Toujours dans Le Figaro, à propos du très amusant traitement du Vélib', voici quelques titres (représentatifs) d'articles publiés sur le sujet :
Tout de suite, on a une bonne image du truc.
Bon allez, ça suffit pour Le Figaro, dans un prochain message je vous parle de Morandini et de France Inter. Et de cactus, aussi.
Des fois je me dis que les journaux ou radios font exprès de vouloir m'énerver. C'est assez facile cela dit, il suffit de donner la parole à un intervenant pas neutre du tout sur un sujet, et de le considérer comme si c'était un expert ne pouvant dire que la vérité.
Ou alors il suffit de ne parler que de certains aspects d'un sujet. Ou d'essayer à tout prix d'insister sur les aspects négatifs de ce que l'on n'aime pas juste pour montrer à quel point c'est mal (ce qu'il m'arrive de faire, mais moi j'ai le droit, je ne suis pas journaliste).
Quelques exemples :
Dans un entretien avec Alan Greenspan que l'on a pu lire récemment dans Le Figaro (oui je sais, en lisant Le Figaro j'augmente les risques de m'énerver, mais j'aime bien me provoquer), ce brave Alan disait par exemple ceci :
« Personnellement, j’ai trouvé admirable qu’il ait [Note de Maxou : devinez qui] passé ses vacances d’été aux États-Unis. Son choix de Wolfeboro, dans le New Hampshire, est remarquable. C’est d’ailleurs là que j’allais lorsque j’étais jeune. »
C'est quoi cette phrase ?! Ça ne rime absolument à rien, c'est quoi ce truc ?!
Un peu plus loin dans le même entretien, une question du Figaro :
« Dominique Strauss-Kahn est bien parti pour être le prochain directeur général du FMI. Vous avez un message pour lui ? A-t-on encore besoin du FMI ? »
Bah oui, maintenant que c'est un socialiste qui est à la tête, faudrait quand même pas que ça serve à quelque chose. Enfin c'est un peu l'impression qu'on peut avoir en lisant ça.
Toujours dans Le Figaro, à propos du très amusant traitement du Vélib', voici quelques titres (représentatifs) d'articles publiés sur le sujet :
Vélib' : 28 accidents en deux mois
Vélib', un engouement à double tranchant ?
Détracteurs de Vélib'
JCDecaux : Vélib', une bonne image qui coûte cher
Vélib', un engouement à double tranchant ?
Détracteurs de Vélib'
JCDecaux : Vélib', une bonne image qui coûte cher
Tout de suite, on a une bonne image du truc.
Bon allez, ça suffit pour Le Figaro, dans un prochain message je vous parle de Morandini et de France Inter. Et de cactus, aussi.