Et si nous parlions un peu des Tony Awards, qui pour leur édition 2008 seront remis le 15 juin, comme toujours à New York, cette année ça sera au Radio City Music Hall, avec Whoopi Goldberg à la présentation. Et des gens plutôt connus pour remettre les prix : Glenn Close, Richard Griffiths et Daniel Radcliffe (qui ne se quittent plus, apparemment), Kristen Chenoweth (whééééé), Liza Minnelli, Alec Baldwin et d'autres...
Tout commence quand Antoinette Perry (surnommée Tony, moi qui croyais que Tony était forcément un surnom masculin), née en 1888 (oula c'est vieux) et décédée en 1946, participe à la fondation de la American Theatre Wing. Un peu comme l'Academy des Oscars, mais pour le théâtre, parlé et chanté. La Wing a commencé à attribuer des récompenses en 1947, et les nomme d'après le surnom de sa directrice pendant la guerre, récemment décédée. Voilà donc le début des Tony Awards.
C'est un collège d'environ 700 professionnels qui participe au vote, et qui remet des récompenses dans 27 catégories (contre 11 en 1947). Les catégories ne sont pas follement originales, on y trouve la meilleure pièce, la meilleure comédie musicale, le meilleur acteur et la meilleur actrice, à chaque fois au théâtre et en comédie musicale, le meilleur metteur en scène et patati et patata. Rien de bien transcendant. Il ne donnent plus de récompenses pour le meilleur technicien de scène, ce que je trouve regrettable, c'était l'occasion d'entendre parler de gens inconnus et assez utiles quand même.
La cérémonie est diffusée à la télévision, et est assez bien d'habitude car avec plein plein de numéros musicaux, évidemment. Et une ouverture qui a de l'allure, par exemple pour la 58e cérémonie, quand Hugh Jackman reprenait une chanson de Dreamgirls (que je n'ai pas vu, est-ce que c'est bien ?) :
Tout commence quand Antoinette Perry (surnommée Tony, moi qui croyais que Tony était forcément un surnom masculin), née en 1888 (oula c'est vieux) et décédée en 1946, participe à la fondation de la American Theatre Wing. Un peu comme l'Academy des Oscars, mais pour le théâtre, parlé et chanté. La Wing a commencé à attribuer des récompenses en 1947, et les nomme d'après le surnom de sa directrice pendant la guerre, récemment décédée. Voilà donc le début des Tony Awards.
C'est un collège d'environ 700 professionnels qui participe au vote, et qui remet des récompenses dans 27 catégories (contre 11 en 1947). Les catégories ne sont pas follement originales, on y trouve la meilleure pièce, la meilleure comédie musicale, le meilleur acteur et la meilleur actrice, à chaque fois au théâtre et en comédie musicale, le meilleur metteur en scène et patati et patata. Rien de bien transcendant. Il ne donnent plus de récompenses pour le meilleur technicien de scène, ce que je trouve regrettable, c'était l'occasion d'entendre parler de gens inconnus et assez utiles quand même.
La cérémonie est diffusée à la télévision, et est assez bien d'habitude car avec plein plein de numéros musicaux, évidemment. Et une ouverture qui a de l'allure, par exemple pour la 58e cérémonie, quand Hugh Jackman reprenait une chanson de Dreamgirls (que je n'ai pas vu, est-ce que c'est bien ?) :
Puisqu'on en est à regarder des vidéos sur les Tony Awards, je ne résiste pas à l'envie de vous proposer celle-ci, où Triumph the insult comic dog, un personnage de chez Conan O'Brian, interpelle les gens sur le tapis rouge. Tout en subtilité.
Et comme on parle de Tony et de comédie musicale, je termine avec deux vidéos, oui, deux, de Tony Vincent interprétant deux chansons d'Andrew Lloyd Webber. Tout d'abord ma préférée de Evita, And the money kept rolling in, lors d'un gala...
Et puis ensuite la chanson de Simon Zealotes dans la version 2000 de Jesus Christ Superstar. Oh ça alors il a changé de cheveux (pas Jesus mais Tony).
C'était bien, hein ? Oui bon la mise en scène de Jesus Christ Superstar est un peu curieuse. Certes.