dimanche 29 juillet 2007

Teil des Ganzen

Coucou,

Hier, à Stuttgart, c'était la parade des Christopher Street Days 2007 de Stuttgart. Ceux qui se demandent ce que c'est peuvent aller se cultiver ici et comprendront qu'il s'agit de la Gay Pride, qui a gardé son nom historique en Allemagne. Ils font ça en juillet, je ne sais pas trop pourquoi... Parce que c'est la fin de l'année universitaire et qu'ils ont besoin d'étudiants disponibles, peut-être...

Et donc ça ressemble à quoi, ces CSD ? La première chose qui peut frapper, c'est que c'est allemand :-) Très organisé... Plein de pubs de banderoles d'affichage de spots à la radio aussi pour rappeler tout ce qui se passe la semaine d'avant et la parade du samedi. Le jour de la parade le parcours est soigneusement interdit à la circulation assez longtemps avant le début, déjà trois quarts d'heure avant que ça ne commence il y a pas mal de spectateurs qui se massent tout le long du trajet, et qui attendent bien sagement (en fait il y a « plein » de spectateurs, plus de 150 000 hier paraît-il selon la police, pour une ville comme Stuttgart c'est pas mal, après tout ce n'est pas une ville connue pour se jeunesse et son bouillonnement culturel). Alors que le cortège en lui-même est assez court, enfin 2 000 personnes (oui c'est pas beaucoup) mais qui défilent lentement :-)

Poms-Poms Boys

Une autre chose assez différente par rapport à Strasbourg ou même à Paris, c'est que c'est beaucoup plus politique ou associatif, enfin engagé dans l'ensemble : tous les grands partis sont officiellement représentés (avec un char et tout), même la CDU ! Et tous les partis de gauche aussi, SPD, Die Grünen, Die Linke... Ils sont venus ils sont tous là. Les Grünen sont plus nombreux que la CDU ça fait original :-)

Après le défilé, rassemblement sur la Schlossplatz pour une série de discours, avec pareil un représentant de chaque parti qui prend la parole, et qui insiste encore une fois sur le côté engagé et politique : égalité des droits avec les couples hétéros, mais aussi soutien aux Gay Prides (et aux gays tout simplement) à Varsovie, à Moscou...

Les enseignantes lesbiennes

Quelques trucs à raconter encore : il paraît que cette année, le Ministre-Président du Land de Baden-Württemberg (CDU je crois) n'a pas fait de discours de bienvenue, contrairement à l'année précédente, et il a été autant critiqué (ou plus) pour ça qu'il avait été critiqué l'année dernière quand il avait fait un discours (mais pas par les mêmes gens évidemment). Et avant le défilé, il y avait une contre-manifestation organisée par des chrétiens qui se réclament de Saint Pie X, un peu intégristes sur les bords, qui avaient des banderoles « protégeons nos enfants de la perversion », et d'après les journaux ils ont été plus sifflés et hués qu'autre chose.

Le public est tout marrant, tout allemand. Très bon public en fait, surtout le gars et sa copine qui étaient devant moi, et qui ne pouvaient pas s'empêcher de danser dès qu'il y avait de la techno (souvent, donc !)

Dans les trucs marrants du défilés, ont notera des poms-poms boys très en forme, l'association des enseignantes lesbiennes, plein de gothiques plus ou moins gays, des policiers gays (et des militaires aussi !), des gladiateurs aussi musclés que peu vêtus, un char d'un club SM, précédé par un gars en costume cuir et noir qui tenait une pancarte sur laquelle était écrit « On me force à porter cette pancarte. », des danseurs de ballet en tutu, et d'autres choses comme ça...

La police !

Sur la place de l'Hôtel de ville et sur la Schillerplatz (la très jolie petite place du centre ville), il y avait tout plein de stands-bars installés pour une soirée festive, mais je n'ai vu que le début et notamment tout plein d'allemands attablés un verre de bière devant eux, avec des drapeaux arc-en-ciel ici et là.

Je vous laisse admirer les quelques photos que j'ai prises comme j'ai pu, il y avait des gens devant moi ! Elles ne sont pas terribles, mais c'est pas facile de prendre les bonnes photos au bon moment...

lundi 23 juillet 2007

Wit beyond measure

Coucou,

Voilà... Ce lundi matin, à 5h45, j'ai fini le septième et dernier Harry Potter. Ce fut assez intense... et j'ai envie de vous en parlez.

Sauf que plein de vous ne l'ont pas encore fini ou même commencé, ce qui va compliquer la tâche. Mais promis je ne révèle rien, sinon c'est pas drôle. Donc ici dans ce message ce que je peux dire sans rien révéler, et dans d'autres messages des commentaires plein de révélations... D'accord ? On y va...

Logiquement je devrais commencer par vous dire si j'ai aimé ou pas... Mais ça n'intéresse personne, non ? En fait c'était amusant, c'est la première fois que je lisais un livre que j'avais autant envie de lire, autant envie de finir, et dont en même temps je ne voulais pas voir la fin. Parce que la fin, ça veut dire « pas de suivant »... Plus jamais !

J'essaie de redéfinir mon classement des livres par ordre de préférence aussi... Avant le 7 ça donnait 3-6-5-4-2-1, et là je ne sais plus... Je crois qu'à lire le 7 le 3 est finalement passé après le 6... C'est très confus tout ça... Je vous dirai dans quelques années :)

Ah oui, j'ai aimé évidemment, hein... Comme si la question se posait.

Symbole de... ?

Et ça me fait me poser plein de questions, que plein de fans se posent aussi sur tous les forums consacrés au sujet. Il y a quelques questions que je peux retranscrire ici sans rien dévoiler, pour le reste ça sera dans les billets suivants, donc.

Par exemple :

  • On sait que JKR avait défini les grandes lignes de chacun des tomes avant de commencer l'écriture du premier. Mais dans quelle mesure exactement ? Il est évident que tout ce qui est dit dans le tome sept n'était pas dans sa tête au moment de commencer le premier (ça ferait un peu peur sinon).
  • Ceux qui survivent, ils deviennent quoi vraiment après ? Ils font quoi ?
  • Ce sera quoi, le livre sur le même univers qu'elle pourra peut-être écrire ? Elle a souvent dit qu'elle envisageait d'en écrire un, peut-être encore un livre de classe. J'aimerais beaucoup lire Hogwarts: A History. Et là c'est génial, une heure après avoir écrit ça j'apprends que... ça sera fait ! Dans une interview bientôt diffusée à la télé américaine, JKR dit qu'elle va écrire une sorte d'encyclopédie d'Hogwarts. Attention pas mal de révélations dans l'article, assez intéressantes d'ailleurs... Qui répondent en partie à mes questions, en plus.
  • Plein d'autres questions... faut que je me souvienne...
  • Et plein de questions que je ne peux pas poser ici sans rien révéler...
Je termine en vous disant les numéros de chapitres que j'ai beaucoup beaucoup aimés, tiens, ça va faire un peu de remplissage :-) : 8, 16, 19, 20, 21, 22, 26 (!!!), et un peu toute la fin, particulièrement 31, 33, 35 (ahhhh ça c'est un chapitre à commenter). Mais c'est bête, en faisant ça je me rends compte que j'ai bien aimé les autres aussi :-) Bon au moins je me suis pas ennuyé en lisant, c'est déjà pas mal ! C'était pas vraiment une surprise non plus...

Et après lecture je dois dire que j'apprécie nettement plus les illustrations (de l'édition anglaise tout du moins, les illustrations de l'édition américaine me perturbent un peu, même si elles sont très jolies pour une fois). J'aime bien le fait que l'on comprenne petit à petit ce que chaque dessin représente...

Ah j'oubliais, j'aime beaucoup la dédicace : en sept parties, en forme d'éclair, et avec une pensée pour les lecteurs ! Je me suis senti touché :-)

Bon allez je me concentre, et ensuite je vous raconte des choses intéressantes sur le sujet :-)

jeudi 12 juillet 2007

Un jeu

Coucou,

Voici des images, extraites de films, séries, magazines, émission de télévision, musées, que sais-je encore. Vous devez deviner d'où elles viennent ! Si vous devinez bien, vous aurez le droit de suggérez un thème pour la prochaine série. Là on commence avec trois images qui n'ont pas vraiment de lien... Comme je suis trop gentil je vous dis que c'est très américain tout ça. Ce n'est pas une super sélection certes, mais c'est pas grave, je ferai mieux la prochaine fois.

Il y a du plus ou moins facile, si vous voulez des indices il suffit de demander !

Bon amusement et à la prochaine.

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dimanche 8 juillet 2007

Ceci est un titre

Coucou,

Et si l'on se faisait une petite revue de presse, histoire de s'occuper en ces temps gris pluvieux et fort frais pour la saison.

Cette semaine, le numéro 2999 de Télérama est en kiosques (même à Stuttgart), et ils ont choisi ce numéro-là pour célébrer leur 3000e parution, c'est censé symboliser leur volonté de se tourner vers le futur, faut pas chercher. On a droit à plusieurs trucs marrants, notamment un courrier des lecteurs encore mieux que d'habitude, avec une sélection de lettres publiées entre 1963 et 2004. Et il y a du bon... En 1963 on a ainsi droit à la lettre d'un lecteur de Meudon-la-forêt, qui râle contre la toute nouvelle émission pour enfants Bonne nuit les petits : « Pourquoi montrer un ours à la grosse voix et des masques aux tout-petits au moment de se coucher ? » Pourquoi, en effet. En 2004, un lecteur exprime son enthousiasme : « Ce matin 12 juillet : 16°. Je suis admiratif de la gestion de la canicule par Philippe Douste-Blazy. » J'y peux rien, je trouve ça drôle.

Un peu plus loin, on a droit à une revue de Télérama, du numéro 1 le 22 janvier 1950 au numéro 2898 en 2005. Il y a plein de trucs marrants, et le journaliste qui a écrit ça a glissé quelques remarques qui permettent de bien se replonger dans l'époque. Par exemple : « N°302, dimanche 30 octobre 1955. Nicolas Sarkozy a 9 mois et se présente aux élections de sa crèche. »

Bon, assez pour Télérama, vous z'avez qu'à le lire vous-même.

Il y a un thème à la mode en ce moment, c'est le créationnisme. Je ne sais pas pourquoi, mais c'est comme ça. On a droit à plein d'articles sur le sujet, par exemple celui-ci de Futura Sciences, ou celui-ci de Libération sur l'ouverture du Musée de la Création, dont vous pouvez au passage consulter le site Internet si vous avez envie d'en savoir plus. Dans l'article de Libé, on notera ce superbe passage reprenant une réponse du Musée à une question particulièrement importante à propos du déluge :

«Mais comment toutes les paires de ­diplodocus et de brachiosaures (40 mètres de haut, 80 tonnes) sont-elles rentrées dans le paquebot en bois aux côtés des autres ­bestiaux ?» Comme le musée est bien fait, la réponse est ­couchée noir sur blanc : « Dans sa grande intelli­gen­ce, Dieu a choisi des bébés».

Et oui...

Bon il y a quand même des articles plus joyeux, hein, ne vous inquiétez pas. Le Monde nous apprend par exemple plein de choses essentielles sur le look des sportifs de haut niveau, et Libération (encore !) nous propose un ensemble de témoignages bouleversants sur le port du maillot de bain. En France, c'est les vacances ! Pas ici...

PS : Pour le titre, je savais pas du tout quoi mettre. Alors là j'ai toujours l'excuse de la référence à Magritte, c'est pratique.

Journaux allemands

Coucou,

Parlons un peu de journaux allemands, avant une revue de presse plus française, vous verrez c'est du joli.

Les Allemands adorent les journaux. Ils les aiment nombreux, grands, gros, et conservateurs (variant du très conservateur au un peu, et à part Die Zeit, il n'y a pas grand chose de gauche, enfin à ma connaissance). Il les aiment aussi très très sérieux (et plutôt bons, surtout comparé aux journaux français), avec à peu près que du texte en noir et tout petit sur fond blanc, avec une photo par page à tout casser. Bon comme tout ça fait très sérieux ils ont aussi un journal pour se déchaîner, c'est le Bild, et c'est assez lamentable, mais alors qu'est-ce que ça se vend bien ! C'est écrit gros, avec plein de couleurs et de photos, une fille nue sur la couverture, que des scandales et des faits divers ou presque, c'est pas cher, ça donne mal à la tête parce que ça part dans tous les sens.

George Bush

Pour le reste ils ont donc plein de journaux énormes, genre FAZ ou Welt (et encore, Welt am Sonntag, leur journal version du dimanche, c'est pire... ça fait genre 8000 pages et pèse 60 kilos, avec cent vingt-neuf suppléments), ou d'innombrables trucs locaux, rien que sur Stuttgart il y en a deux grands : Stuttgarter Zeitung et Stuttgarter Nachirichten. Je ne les lis pas vraiment régulièrement du tout (c'est long cher compliqué faut aller les acheter...), mais c'est plutôt du pas mal du tout niveau. Ah oui, deux journaux sur Stuttgart ça n'a l'air de rien, précisons-donc qu'à 40 minutes de train, à Tübingen, ils ont autre chose comme journal local, qu'à Ludwigsburg qui est plus proche de Stuttgart et plus petite que Tübingen, ils ont encore un autre truc, bref chaque ville un tant soit peu peuplée à son journal.

Et donc tous ces journaux sont payants et se vendent plutôt très bien. Pas de gratuits ici.

Mais un journal d'un nouveau genre fait son apparition. Le journal des gens qui ont réalisé qu'ils n'avaient pas le temps de lire 600 pages chaque jour. Ça s'appelle Welt Kompat, et c'est donc Die Welt qui fait ça, et c'est compact (gros comme deux 20 Minutes de chez nous, mais avec des vraies articles quand même et presque pas de pub). C'est prévu pour être vendu 70 centimes (la moitié du prix d'un journal normal), pour l'instant c'est génial ils sont en promo de lancement (avec une super campagne de pub dont vous pouvez admirer ici quelques extraits) et le distribuent gratuitement, du coup je peux un peu feuilleter.

Angela Merkel

Un truc qui frappe : ils adorent Angela Merkel, et quand ils parlent de la France, on a du mal à croire que c'est bien du même pays que parlent les journaux-radios-télés français (on n'a pas dû leur dire qu'on avait un hyper-président).

Ma grand inquiétude du moment : combien de temps la promo de lancement va-t-elle durer, et vais-je pouvoir demain encore retrouver mon horoscope (Vénus m'est favorable en ce moment, si c'est pas génial), les dessins de Nichtlustig (qui sont drôles, contrairement à ce que leur nom peut laisser croire), et le sudoku pour lequel je ne suis décidémment pas super doué.

Benoît XVI

Voilà vous avez plein de liens à consulter, là, et puis je vous prépare un autre article avec encore plus de choses à lire pour vous (surtout si vous ne sprechez pas le Deutsch, ce qui arrive même aux meilleurs).

samedi 7 juillet 2007

Supermarkt

Coucou,

Et si je vous parlais un peu d'Allemagne ? Je savais que vous ne diriez pas non.

Il y a un truc amusant ici. Non pas un, plein. Mais un truc qui m'amuse c'est qu'ils ne peuvent pas s'empêcher de tout faire un peu différemment de nous autres Français (et souvent ils font mieux, évidemment). Les supermarchés, par exemple. Ils sont tous partout pareil, vous dites-vous. Leclerc ça existe partout, Carrefour aussi, ça se ressemble et puis voilà. Sauf que non. (Oui bon ce sont des hypermarchés on va pas chipoter. Remplacez Carrefour par Intermarché si vous préférez.)

Il y a une constante dans les supermarchés allemands qui frappe à peu près tous les Français qui viennent faire leurs courses ici : les caissières (et les caissiers) ne sont pas comme chez nous. Ici, une caissière est incroyablement efficace. À tel point que ça en ferait presque peur. Les pires de toutes se trouvent chez Aldi : vous n'avez même pas eu le temps de chercher votre billet de 50 euros dans votre portefeuille que la caissière a déjà rangé tous vos achats dans des sachets, préparé la monnaie à vous rendre et posé le ticket de caisse en haut du dernier sachet. J'exagère à peine. À chaque fois on se demande comment elles font, et on n'en a pas la moindre idée. Elles sont hyper-concentrées, ultras-stressées (mais toujours aimables), et vont plus vite que l'éclair. Chez Kaufland c'est ça aussi, en moins extrême peut-être, et pour ne pas avoir l'air ridicule à la caisse et faire attendre les autres clients j'en viens à réfléchir soigneusement à la façon dont je vais disposer mes achats sur le tapis roulant de la caisse pour pouvoir les ranger dans mon sac de façon optimale : le lait d'abord parce que ça va au fond, les fraises en dernier parce que ça en haut, vite je sors déjà ma carte bleue, zut la caissière a déjà tout fini je n'ai pas eu le temps d'ouvrir mon sac.

Et puis elles ne vont pas seulement vite, les caissières. Elles ont aussi une habitude, chez Kaufland tout du moins (sorte d'Intermarché en très grand ou de Carrefour en petit) : elles vous demandent si vous s'est bien passé. Oui, oui. Vous êtes en train de ranger vos achats le plus rapidement possible, donc, et là on vous demande « War alles OK beim Einkaufen? » et vous ne savez pas trop quoi dire, à part peut-être « ja ». Aujourd'hui, ah non, hier, j'ai même eu droit (après avoir payé par carte...) à une caissière qui me dit « Auf Wiedersehen, Herr Kintz!», hé bien ça surprend.

Il y a d'autres trucs marrants dans les supermarchés allemands. Leur folie de tout ce qui est « discount » ou « billig », par exemple. Les petits prix, quoi. Certes ici la vie est moins chère, mais alors qu'est-ce qu'ils le répètent ! Tout est moins cher. Vous ne trouverez pas un produit à un prix normal, non, tous les produits en vente ont une pancarte « Reduziert » ou « Billig » ou, mon préféré, « Discount billig », parce que discount ou billig seul ça n'allait pas. Même les produits bios sont à prix discount, en tout cas c'est écrit (et moins cher qu'en France aussi). Dans la galerie commerciale de la gare, il y a par exemple un supermarché bio discount. Ça surprend un peu, on peut même se demander si c'est vraiment compatible, mais ça existe.

Au rayon des trucs amusants qu'on n'a pas en France (je ne sais pas si c'est une bonne ou une mauvaise chose) : les boulangeries en self-service avec pain certes industriel mais quand même très bon (et plein de sortes de brötchen, c'est bien là l'essentiel).

Sau billig

Au rayon des trucs qu'on a en France et qui manquent cruellement ici : la Fnac. Parce qu'on dira ce qu'on voudra, Mediamarkt (« billig wie sau! ») c'est vraiment pas ça, et acheter un CD (je viens de me rendre compte que j'avais écrit céder au lieu de CD, ce qui m'étonne beaucoup) à WOM c'est pas la joie non plus.